Pour le Meilleur et pour l’Empire
Horlogerie
La Petite Seconde Metropolis Louis Erard x The Horophile — Quand Louis Erard rencontre un insider passionné de belle horlogerie, ils créent. Le résultat est une collection de La Petite Seconde 39 mm de Louis Erard. Trois variations, anthracite, saumon, brun sur un style Art déco, d’inspiration new-yorkaise et revisité dans un esprit contemporain — le néo déco !
Car la collaboration Louis Erard x The Horophile à l’instar de toutes les autres menées par Louis Erard, est une aventure humaine avant de devenir une montre. Deux mains qui se tendent, se saluent et se remercient. Et de ces rencontres naissent les garde-temps. Cette montre porte avant tout un message : « Ensemble, nous sommes plus forts. » C’est aussi le résultat d’un partage, communion de cultures, de regards, de passions. Louis Erard, devenu mentor de la belle horlogerie de création abordable en Suisse sous l’impulsion de son dirigeant Manuel Emch. Et Amr Sindi, créateur de la plateforme Instagram @TheHorophile, qui est consultant marketing, producteur de séries limitées. En plus, Manuel Emch et Amr Sindi sont des amis de longue date.
Voyage entre deux temps
Cette montre, ces montres car il y a trois variations, est pensée comme une collection dans la collection. « Une base sur laquelle d’autres séries spéciales pourraient venir », affirme Amr Sindi. Cette montre Metropolis est basée sur La Petite Seconde Louis Erard, toute classique dans son boitier acier de 39 mm, avec sa couronne signature « LE », le seul endroit où la marque apparait. Tout le reste est neuf, construit comme un voyage entre deux temps, entre deux siècles, entre les Roaring 20s et nos années 20 à nous. Le résultat : l’invention d’un nouveau style. Ce style : le néo déco. Ce garde-temps est un hommage à Louis Erard qui a vu le jour dans les fièvres Art déco, à son apogée en 1929. Une pensée à son terroir : le Jura, les Franches-Montagnes, La Chaux-de-Fonds, berceau du style sapin, l’Art déco des forêts, qui retrouve ici des traits plus urbains.
Bâtons Empire
Le point de départ de la création est la typographie. Avec une ligne de recherche : Réinterpréter des chiffres Art déco. Les chiffres sont architecturés, ouverts, ajourés comme des éléments de façade. « La conception du cadran et des aiguilles est venue ensuite », explique The Horophile. Les chiffres seront circulaires, comme posés sur un disque. Le motif du disque devient à son tour central, travaillé graphiquement en deux dimensions pour souligner les deux espaces d’affichage du temps. Les aiguilles bâtons Empire reprennent un motif du patrimoine universel : l’Empire State Building, emblème déco de la modernité.
Réinterpréter des chiffres Art déco comme ligne de recherche.